Du 31 mai au 29 juillet

  • Beau temps avec des températures très élevées à partir de la Cappadoce
  • 2082 km au total
  • 28 jours de repos = quasiment la moitié du temps passé en Turquie. Finalement, on l’aura traversé assez vite si on prend en compte que les jours où on a pédalé.
  • 1 crevaison
  • 3 vidéos regardées
  • 1 bonne semaine où Nico a eu le dos bloqué (heureusement c’est arrivé durant notre semaine de pause à Van)
  • 0 morsure de chien
  • Nuits en tente :
    • 6 en camping
    • 5 en camping sauvage
    • 10 dans des stations essence (parfois à l’intérieure de la station)
  • 6 nuits à l’hôtel ou en auberge de jeunesse
  • 18 nuits chez des hôtes WarmShower ou Couchsurfing
  • 1 nuit dans une mosquée
  • 1 nuit chez l’habitant
  • 16 jours sans douche (ce qui ne veut pas dire sans toilette!)
  • 427 tasses de chaï à nous 2 !

Budget

Budget moyen : 12,5 €/ jour pour la vie quotidienne pour 2 (NB : ce bilan ne tient pas compte de la semaine passée avec les copains à Istanbul où les dépenses n’ont pas été très représentatives de nos dépenses habituelles !) Très peu de nuits payantes et la générosité de nos hôtes nous ont permis d’obtenir ce budget très serré.

  • Prix moyen pour se loger : entre 20 et 30€ pour 2 (auberge de jeunesse ou hôtel)
  • Pour manger :
    • entre 3 et 4€ pour une assiette avec viande et accompagnement ou une pizza. Un peu moins si on opte pour l’option sandwich.
    • de nombreuses options pour manger sur le pouce pour 1 ou 2€ : böreks en tout genre, lahmacun (pizza arabe très fine) et mon en-cas favori, le gözleme (une crêpe farcie d’épinards, de fromage ou de pommes de terre) Contrairement à ce qu’on pensait, on a très peu mangé de kebab comme on les connaît en France.
    • 0,25 € l’esquimau et 0,50€ le cornet. Vu la chaleur, on en a consommé un très grand nombre !
  • Budget visite : 24€ sans les visites à Istanbul
  • Budget transport : 117€ (Aller-retour en bus de Goreme à Trabzon, pour le visa irannien + ferry)

L’état des routes/ conditions de circulation

  • D’un bout à l’autre de la Turquie, nous aurons roulé sur de la 2×2 voies. Pas très bucolique mais on est à peu près tranquille quand on peut rouler sur la bande d’arrêt d’urgence.
  • L’état des routes est sur l’ensemble du territoire en très bon état. Quelques portions où l’asphalte n’est pas lisse.
  • Au niveau du mode de conduite des turcs, nous retenons : – ils dépassent quels que soit la visibilité ou les obstacles (zone de travaux, plot sur la route…), – ils s’engagent dans une sortie souvent au dernier moment, – et surtout, ils klaxonnent beaucoup (trop) ce qui devient vite insupportable quand on passe sa journée sur la route. Enfin le plus dérangeant ce sont les camions qui te déchirent le tympan avec leur puissant Klaxon. C’est notamment pour cette raison que nous avons commencé à rouler avec nos casques audio sur la tête.

Ce qui nous a marqué

  • Le contraste qu’il existe entre la Turquie « moderne », comme on peut l’observer dans les grandes villes de l’ouest du pays, et une Turquie plus conservatrice, celle de l’est.
  • L’accueil et la générosité des Turcs ! Rares ont été les journées passées sur la route où on ne nous a pas offert un thé ou autre.
  • Ils peuvent parfois se montrer assez directifs… Quand ils ont une idée en tête, difficile de leur en faire changer.
  • Le nombre de thés que les turcs peuvent boire par jour.
  • Pour se dire bonjour, certains hommes se font une bise du front.
  • 99% des turcs fument
  • Les salles de sport en plein air
  • Ils roulent tous au GPL
  • On a croisé plus de turcs qui parlaient allemands qu’anglais
  • Ils ne mettent jamais de couteau à table
  • Quand on leur dit qu’on vient de France, 2 noms ressortent : Karim Benzema et Nicolas Sarkozy (je ne vous cache pas qu’il y en a l’un des 2 qu’ils ne portent pas vraiment dans leur cœur!)
  • Quand on rencontre quelqu’un qui ne parle pas anglais, il appelle toujours l’une de ses connaissances qui est censée parler anglais ou français. On se retrouve au téléphone avec quelqu’un qu’on ne connaît pas et on ne sait pas trop quoi se dire…